Bulles sensibles
Artisanal, poétique, intemporel.
Marine fabrique à la main des pétillants de fleurs de sureau, dans la ferme familiale où elle cultive sa sensibilité et son savoir-faire. Pour accompagner son envie de monter en gamme, de mieux raconter son savoir-faire et d’affirmer sa sensibilité, nous avons conçu une identité sobre et expressive.
Une identité pensée pour une étiquette, mais surtout comme une empreinte.
Bulles sensibles
Artisanal, poétique, intemporel.
Marine fabrique à la main des pétillants de fleurs de sureau, dans la ferme familiale où elle cultive sa sensibilité et son savoir-faire. Pour accompagner son envie de monter en gamme, de mieux raconter son savoir-faire et d’affirmer sa sensibilité, nous avons conçu une identité sobre et expressive.
Une identité pensée pour une étiquette, mais surtout comme une empreinte.
L'étiquette.
Effervescence et héritage.
Sur l’étiquette, un parti pris fort et rare dans l’univers du packaging : ne faire figurer que l’essentiel, la mention « Fleurs de sureau, bulles, fermentation sauvage ». Ni logo, ni artifice. Juste le produit, pleinement assumé, en toute transparence.
Un geste graphique qui traduit la sincérité du projet et laisse à l’univers visuel tout l’espace pour s’exprimer avec justesse.
Pourquoi ce bleu ?
C’est celui de son bleu de travail, précisément. Un pantone vibrant, profond, sélectionné pour sa dimension symbolique autant que visuelle. Il incarne le lien à la terre, à la ferme familiale où le projet prend racine, mais aussi à une esthétique singulière, empreinte de douceur et de détermination. Une couleur comme un fil conducteur à la fois personnel, mémoriel et graphique.
La marque, quant à elle, se dévoile discrètement au dos, sur la contre-étiquette. Comme un secret bien gardé, réservé à celles et ceux qui prennent le temps de regarder. Ce choix affirmé raconte aussi la démarche de Marine : humble, artisanale, ancrée dans le respect du vivant et dans une approche sensible même dans le design.
Une charte graphique vivante.
Entre végétal et typographie.
Chez Maïm, l’identité visuelle ne se limite pas à un logo : elle respire, se décline, s’infuse dans chaque détail.
Ici, les éléments graphiques forment un langage organique, à la fois libre et maîtrisé.
Les silhouettes de fleurs de sureau, toutes dessinées à la main, évoquent la cueillette, le geste précis, la connaissance intime du végétal. Chaque inflorescence devient motif, ponctuation, accent. Parfois à peine éclos, parfois en envolée, les pétales dansent comme les bulles d’une fermentation sauvage. Ces illustrations botaniques ne sont pas décoratives : elles portent l’essence du projet.
À leurs côtés, un jeu typographique audacieux. Les lettres se prolongent, s’entrelacent, deviennent presque végétales elles aussi. Des ligatures imaginaires, des doubles points comme des spores, des lettres qui poussent, s’étirent, grimpent.
L’ensemble forme un système graphique sensible, modulaire, vivant. Un terrain d’exploration visuel qui reflète l’univers de Maïm : libre, poétique, profondément incarné.
Le cadrage comme fil rouge.
Sur chaque support : étiquette, carte de visite, bandeau Facebook, une même photographie, mais jamais tout à fait la même histoire.
Le cadrage, pensé avec précision, agit ici comme un révélateur. Il met en lumière la posture de Marine, son geste délicat, la fleur de sureau entre ses doigts. Ce n’est pas un portrait figé : c’est un instant capté, vivant, sensible.
Le cadrage devient ainsi un langage.
Il crée une cohérence visuelle sans redondance, une identité visuelle modulable et incarnée comme les bulles du sureau : naturelles, légères, toujours en mouvement.
Étiquettes
Le plan serré avec une amorce de paysage incarne la relation directe au produit.
Presque documentaire, il invite à se concentrer sur l’essence : la main, la plante, le terroir, la matière.
Une rencontre entre le produit et vous.
Cartes de visite
L’image se resserre, laissant une place centrale à Marine et ses mains et en évinçant le paysage. Le message est clair : Marine est le sujet.
Bandeau Facebook
Le cadre s’élargit. On découvre l’environnement, la lumière, l’extérieur. Le lieu prend part à la narration. On comprend que ce pétillant est aussi l’histoire d’un ancrage, d’un lieu de vie et de création.
